Alors que le coronavirus sévit dans tous les pays du monde, la plupart des dirigeants ont jugé nécessaire de mettre en place des stratégies pour limiter la propagation du virus. La France quant à elle, a déclaré l’état d’urgence qui doit finir le 23 mai. Espérant alors que la vie va reprendre son cours normal, les Français vont devoir encore attendre. Mais pour quelles raisons ? Cet article pour vous en dire plus.
Prolongement de l’état d’urgence : cause de la situation
Outre l’état d’urgence déclaré par le gouvernement français, les dirigeants de ce territoire ont également exigé le confinement de ses habitants. Ces derniers sont donc obligés de rester chez eux, et ce, jusqu’à la date du 11 mai. Ils étaient donc heureux de pouvoir à nouveau sortir et se promener près de leur domicile après cette date. À cette joie s’ajoute l’idée de pouvoir mener une vie normale dès la date du 23 mai. Mais malheureusement, ce ne sera pas le cas, car l’état français va prolonger cet état d’urgence jusqu’au 23 juillet. C’est du moins ce qui est dit ici www.barbanews.com/tag/Deconfinement . Une pareille décision n’est pas vraiment déplacée d’autant plus que le virus règne toujours sur le territoire.
De nouvelles dispositions pour la prochaine période de confinement
Pour la précédente période de confinement, le gouvernement a mis en place plusieurs dispositions qui réglementent le mode de vie durant le confinement. Cependant, pour la prochaine période de confinement, le gouvernement français a décidé de revoir les dispositions. Ainsi, Philippe Edouard propose que le gouvernement retire l’article 2. Or, celui-ci exige l’isolement d’une personne infectée.
De même, selon l’article 6 de ces nouvelles dispositions, il y aura désormais un nouveau fichier comportant des données d’identification et de santé. C’est une décision que n’apprécient pas plusieurs politiciens comme Bruno Retailleau. À vrai dire, la politique actuelle est vraiment floue en ce qui concerne la gestion de cette crise. Vivement que les gouvernants prennent les bonnes décisions.